Ce contrat est plus « flexible » que le CDD de remplacement à terme précis. Il permet en effet de mieux « coller » à la durée de l’absence réelle du salarié remplacé et ainsi de faire face à des éventuelles prolongations de l’absence du remplacé sans qu’aucune autre formalité soit requise. Deux points sont à définir avec soin en fonction des besoins de l’entreprise : la durée minimale du contrat et le libellé du motif du recours (v. nos commentaires à chacune de ces rubriques).
Il doit être conclu au plus tard le jour de l’embauche.
Ce contrat n’envisage pas un « temps partiel » : celui-ci reste toutefois possible dans le cadre d’un CDD mais implique l’insertion de clauses spécifiques (répartition des horaires, heures complémentaires…) (v., sous la rubrique Temps partiel, formule 9).